S’approximer le creux retournement
D’où te suspendra
La coulée
Aussi ne pas faire de son cri
Une pâte sobre et claire
Damnée pour les glorioles
Fumeuses qui délivrent
Messages et non hommes
S’approximer l’injuste
Coup parti d’une flexion
De doigt délibéré de toute
Modeste retenue
S’approximer l’annonce
Qui le destin niera
Semblant de bois moulu crevé
Foré subissant son automne
Ô luron qui roule d’enchanter
L’équerre ortho-livide
Pour l’empulser sonore
SÉ-MA-PHORE
Plus son coude anguler
S’approximer l’averse
Qui court horizontale
À l’empire soutenu
Du bout borné de blanc
S’approximer l’oreille
Au dénommé de grâce
Et d’ornementation qui
Vivant en résonnance
Macère à la démence
Si lancinant si tôt
S’affrétant de nouveau
Le corps de violences
S’approximer la flamme
Sans corps ni lieu
Élevée s’envolant
Toujours apparaissant
Là déloger
Les astres